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Prix alimentaires. L’ONU s’inquiète pour les plus pauvres

Découvrez la revue de presse hebdomadaire de La Terre / 17 novembre 2021.

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Comme beaucoup de produits alimentaires, les pâtes voient leur prix grimper. Et la flambée des prix pourrait s’accélérer ces prochains mois, en raison d’une chute des récoltes de blé dur à l’échelle mondiale.

La flambée des prix alimentaires fait craindre une aggravation de la faim dans le monde. Selon l’indice de la FAO, les denrées de base ont augmenté de 30 % en un an. Combinée aux effets économique de la crise sanitaire, cette inflation menace particulièrement un tiers de la population mondiale, déjà en insécurité alimentaire.

Envolée mondiale des prix de l’alimentation: l’Onu s’inquiète pour les pays pauvres. L’envolée des dépenses mondiales d’importations alimentaires, qui devraient atteindre un «niveau record» en 2021, inquiète l’Onu, quant à la capacité des pays pauvres, très souvent importateurs de nourriture ou d’engrais, à continuer de se nourrir.

La FAO lance une alerte sur les prix alimentaires et des intrants agricoles. La facture des importations d’aliments dans le monde s’élèvera à 1.750 milliards de dollars, un record historique. Les tensions sur l’énergie et les intrants vont maintenir les prix agricoles à des niveaux élevés.

Selon l’ONU, la facture alimentaire s’alourdit de manière alarmante pour les pays pauvres. L’ONU s’inquiète de voir la facture alimentaire s’alourdir pour les pays pauvres. Selon l’Agence pour l’alimentation et l’agriculture, la FAO, le coût des importations de denrées de base devrait atteindre son plus haut niveau de l’histoire dans le monde cette année : 1 750 milliards de dollars.

Les pénuries se multiplient, les prix flambent. C’est une denrée que l’on a beaucoup acheté, stocké, consommé pendant les périodes de confinement. Comme beaucoup de produits alimentaires, les pâtes voient leur prix grimper. Et la flambée des prix pourrait s’accélérer ces prochains mois, en raison d’une chute des récoltes de blé dur à l’échelle mondiale. D’autres matières premières voient aussi leur prix grimper comme les huiles et le sucre. Tout cela risque d’entraîner une progression encore plus rapide de l’inflation à travers le monde.

ALIMENTATION. Le casse-tête explosif de la « note environnementale » des produits. L’Ademe devrait remettre des propositions au Parlement avant la fin 2021 sur l’étiquetage environnemental des produits alimentaires. Ce nouvel affichage reviendra à leur attribuer des notes en fonction de leur impact écologique. Hautement polémique, il n’entrera pas en vigueur avant un an.

Additifs, allergènes… cinq applications pour mieux connaître ce qu’on mange. Les Français mangent beaucoup de produits ultra-transformés, et peuvent ingérer en moyenne 4 kilos d’additifs chaque année. Pour vous y retrouver, on vous propose cinq applications pour scanner et mieux comprendre ce que vous mettez dans votre panier.

Lobbying contre le Nutri-score : « Une fois de plus, la santé publique est confrontée à des intérêts économiques et politiques ». La violente offensive contre le logo nutritionnel Nutri-score est menée, sous couvert de défendre les fromages et charcuteries traditionnels, pour préserver des intérêts financiers au détriment de la santé, dénoncent un collectif de médecins dans une tribune au « Monde ».

AGRICULTURE. Campagne 2021 – « Les antibios, comme il faut, quand il faut ». Le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation diffuse, tout au long des mois de novembre et décembre 2021, la campagne de communication du plan Écoantibio 2 dans la presse spécialisée, déclinée autour du message « Les antibios, comme il faut, quand il faut ». Elle s’adresse aux éleveurs des différentes filières de productions animales, aux vétérinaires ainsi qu’aux propriétaires d’animaux de compagnie.

Programme National pour l’Alimentation (PNA) : un nouvel appel à projets pour 2021-2022 est ouvert. La crise sanitaire liée au COVID-19 a souligné la nécessité de renforcer la résilience de notre système alimentaire dans toutes ses dimensions et l’importance de relocaliser notre agriculture et notre alimentation pour un accès de tous à une alimentation saine, sûre et durable. Ces enjeux sont ceux du programme national pour l’alimentation (PNA) qui vise à développer des actions concrètes pour atteindre cet objectif.

La vache haut-savoyarde Neige, nouvelle égérie du Salon International de l’Agriculture. Âgée de 4 ans, Neige doit son nom à 3 symboles : la neige qui recouvre les alpages de novembre à mai. La neige, emblème de la Savoie et de la montagne.

Conséquence de la hausse du prix du gaz, certains engrais coûtent « trois fois plus cher que l’an dernier ». Avec la hausse du prix du gaz, le prix des engrais fabriqués à partir d’azote a triplé en quelques mois, ce qui met les agriculteurs céréaliers en difficulté pour la prochaine récolte.

«La diversité de notre agriculture nous est enviée par bon nombre de pays». On oppose souvent les différents types d’agriculture. La grande chance de la France est justement la diversité unique au monde de ses productions, argumentent deux agriculteurs français.

Contre le réchauffement, l’agriculture française expérimente des « parasols » mobiles. Et si vignes et pommiers étaient ombragés par des « parasols » mobiles produisant de l’énergie solaire ? Ces ombrières photovoltaïques sont expérimentées sur quelques vergers et vignobles du bassin méditerranéen français, une zone victime du réchauffement climatique.

Écologie et agriculture : faut-il faire confiance au label Haute valeur environnementale ? 

Créant la confusion avec le bio, le label Haute valeur environnementale (HVE), de plus en plus subventionné, agite le monde agricole et les associations environnementales. Enquête.

Entre 2000 et 2018, l’agriculture a été responsable de 90 % de la déforestation dans le monde. Dans le monde, la perte des forêts reste préoccupante en raison de leur importance pour la biodiversité, le climat et les populations qui en dépendent pour leur moyen de subsistance. Face à l’ampleur de ce phénomène, l’agriculture est généralement pointée du doigt.

COP26 : quelles mesures pour l’agriculture face au changement climatique ? L’agriculture a été l’un des points clés abordés à la COP26 étant donné son impact sur le climat. Cette activité humaine est responsable de 25% des rejets de gaz à effet de serre et de près de 90% de la déforestation mondiale depuis 30 ans.

CLIMAT. Lutte contre le réchauffement climatique : la COP26 s’achève sur un accord critiqué. Les quelque 200 pays de la COP26 ont adopté samedi un accord loin de faire l’unanimité. Le « pacte de Glasgow » est jugé en deça des espérances de départ. L’accord pour accélérer la lutte contre le réchauffement climatique ne garantit pas de tenir l’objectif de le contenir à 1,5 °C, ni de répondre aux demandes d’aide des pays pauvres.

COP26, un mirage et trois atterrements. Les négociations se sont conclues sur une tonalité amère à Glasgow. En dépit de quelques avancées, l’ambition climatique demeure insuffisante. L’espoir de limiter le réchauffement à un maximum de 1,5 °C semble définitivement envolé.

Chrétiens et engagés pour le climat, ils déplorent une Cop 26 « en demi-teinte». Militants dans la lutte contre le réchauffement climatique, les frères Matthew et Sébastien, Marie-Hélène Lafage et Jean-François Mouhot ont suivi le sommet de Glasgow, en étant aux premières loges ou à distance. Ils dressent un bilan mitigé de la rencontre.

La COP26 est « une opportunité ratée », selon Lucie Pinson, directrice de l’ONG Reclaim Finance. Selon Lucie Pinson, directrice de l’ONG Reclaim Finance, les acteurs financiers, publics et privés, ne rompent pas assez vite ni assez fort avec les énergies fossiles. 

La Communauté du Pacifique fait le bilan et dénonce des manquements. En pleine COP 26, la Communauté du Pacifique a pointé lors d’une conférence de presse les manquements aux promesses faites par les pays développés envers les pays en voie de développement dans cette lutte contre le réchauffement climatique.

Réchauffement climatique : de 1,5 à 4°C, apocalypse now ou plus tard. Augmentation des déluges au mieux, canicules extrêmes et régulières au pire… Tour d’horizon des scénarios catastrophes.

COP26 : la France mettra fin à ses subventions aux projets d’exploitation d’énergies fossiles à l’étranger fin 2022. La ministre de la transition écologique, Barbara Pompili, a annoncé que Paris rejoignait la coalition de pays qui ne financeront plus les projets d’énergies fossiles s’ils ne sont pas accompagnés de « dispositifs d’atténuation » des gaz à effet de serre.

Pollution. En 2019, l’air vicié a tué 307 000 Européens. La pollution aux particules fines reste une des premières causes de mortalité prématurée sur le Vieux Continent, selon un rapport de l’Agence européenne de l’environnement. Une tendance légèrement à la baisse, mais toujours alarmante.

BIODIVERSITÉ. Un nouvel indicateur pour mesurer l’écart entre l’état de la planète et les objectifs à atteindre. Plusieurs outils, plus ou moins pertinents, existent aujourd’hui pour rendre compte de l’état des écosystèmes à l’échelle de tous les pays. Les Objectifs du développement durable (ODD) des Nations unies s’imposent comme un cadre d’analyse de référence, mais leur contenu environnemental est très largement insuffisant.

La chronique philo de Cynthia Fleury. Bien-être et biodiversité. La biodiversité est devenue un thème récurrent des médias, mais aussi de la responsabilité sociale et sociétale des entreprises, sans parler des politiques publiques qui en font un nouvel outil d’évaluation de leur impact, au sens où elles la protègent en maintenant la vitalité des écosystèmes naturels.

Les légumineuses, des protéines végétales bonnes pour la santé et la biodiversité. Composantes d’une agriculture raisonnée, les légumineuses sont en tête des cultures en rotation favorisant la biodiversité et la pollinisation. Nutritives et saines, elles fixent en outre l’azote dans les sols, au bénéfice des cultures suivantes, et incarnent la durabilité.

Sur les chemins de l’ours, dernière sortie avant hivernation. Avant l’hiver, les équipes de l’Office français de la biodiversité (OFB) relèvent les indices de la présence de l’ours dans les Pyrénées. Avec une progression de 11 % en moyenne depuis 1996, leur population deviendrait « viable », estiment les spécialistes.

Des collaborations au service de la biodiversité. Le Rhin est un axe économique majeur pour l’Europe, qui s’est développé au prix de lourds travaux d’aménagement, pour « domestiquer » le fleuve sauvage et ainsi maîtriser ses crues, faciliter la navigation et valoriser sa force hydraulique.

Organisme mondial pour la biodiversité : plus d’un million d’espèces menacées d’extinction. Selon le groupe international de défense des espèces menacées, plus de 8 400 espèces de faune et de flore sauvages sont gravement menacées, alors que 30 000 autres sont considérées comme vulnérables.

La Roche-sur-Yon élue capitale française de la biodiversité. C’est officiel depuis ce mardi 16 novembre 2021. La Ville de La Roche-sur-Yon vient de remporter le concours national Capitale française de la biodiversité. Une reconnaissance qui vient couronner quatre années d’actions en faveur de la biodiversité.

Le Cese réclame une Stratégie nationale biodiversité plus ambitieuse. Le Conseil économique, social et environnemental (Cese) estime nécessaire d’améliorer les performances environnementales de l’agriculture et d’intégrer la biodiversité dans les certifications, mais sans plus de détails. Il recommande également de contraindre davantage l’artificialisation des sols.

FORÊT. La mortalité climatique des arbres menace toutes les forêts d’Europe. Les trois principales espèces d’arbres des forêts européennes, l’épicéa, le pin sylvestre et le hêtre, disparaissent de plus en plus en raison du réchauffement climatique, selon une nouvelle étude. Conséquence : les forêts stockeront de moins en moins de carbone et les risques d’incendie vont augmenter.

RURALITÉ. Maillage vétérinaire en territoires ruraux : le point sur la feuille de route. Le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, Julien Denormandie, a rencontré le 28 octobre les organisations professionnelles vétérinaires et agricoles et les représentants des collectivités pour faire le point sur l’avancée de la feuille de route pour le maintien des vétérinaires dans les territoires ruraux.

Méga-bassine : trois questions sur cette bataille pour l’eau qui divise le monde agricole.  Des militants ont détruit une méga-bassine, un réservoir d’eau destiné à l’irrigation des cultures en période de sècheresse, dans le Marais poitevin. Ils font partie d’un collectif qui dénonce ce dispositif qui « accaparerait » l’eau au profit de quelques exploitants.

Développement culturel des territoires : quelles stratégies pour la ruralité ? Mercredi 10 novembre s’est tenue au Familistère de Guise dans l’Aisne une étape importante de la politique territoriale conduite par la Drac Hauts-de-France à travers une journée de réflexions ayant pour thème « Développement culturel des territoires : quelles stratégies pour la ruralité ? ».

De nouvelles mesures pour renforcer le maillage vétérinaire. Dans le cadre de la feuille de route sur le maintien des vétérinaires en milieu rural, engagée en 2017, six diagnostics territoriaux seront réalisés en 2022. La contractualisation entre éleveurs et vétérinaires reste à l’étude, et la télémédecine pourrait être pérennisée, a indiqué le ministère de l’Agriculture le 9 novembre 2021.

SANTÉ. Covid-19. Taux d’incidence en hausse dans la région, l’épidémie s’accélère de nouveau. Le taux d’incidence au Covid-19 progresse dans la région. Il frôle même le seuil de 100 nouveaux cas pour 100 000 habitants dans le département du Nord, le plus touché.

« On n’aura pas besoin d’une grosse vague pour que l’hôpital soit en difficulté ». « Il y a cinq fois plus de circulation virale chez les non vaccinés » a rappelé l’infectiologue Gilles Pialoux dans Ma France ce lundi, invitant ceux qui ne l’ont pas encore fait à se faire vacciner contre le Covid-19 pour éviter un reconfinement face à la hausse du nombre de cas.

Covid 19 : 9 fois plus de décès chez les non vaccinés. Il y a 9 fois plus d’entrées en soins critiques à l’hôpital et 9 fois plus de décès dus au covid-19 parmi les personnes non vaccinées que parmi celles qui sont complètement vaccinées, selon les dernières statistiques de la Drees.

Covid-19 : une mortalité mondiale largement sous-estimée. Des estimations fondées sur le calcul de l’excès de mortalité évaluent les décès liés au SARS-CoV-2 à 17 millions, l’équivalent de la population des Pays-Bas.

Polémique sur le Covid long. Une étude sous-entend que les effets à long terme de l’infection seraient surtout psychologiques.

Image jplenio / Pixabay.

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